Mathieu
Présentation de Mathieu


Mes débuts avec la musique
Durant son enfance, dans les années 90, il s’amuse à pianoter des morceaux qu’il a dans la tête avec le clavier de son grand-père, le PSS-270 de Yamaha. Il prend goût à la musique, à force de jouer avec son père ou de chanter avec sa famille sur des synthétiseurs comme le WK4 de GEM. On lui offre un jour une guitare qui lui fait découvrir un autre instrument que le synthétiseur, qui régnait alors en maître dans la famille. Malgré tout, il se passionne de plus en plus pour le clavier, sur lequel il passe de nombreuses soirées à se rêver compositeur de musique de film ou bête de scène Pop-Rock.
C’est au lycée, qu’il monte, en 2003 son premier groupe de Rock « No Shame » avec ses amis Sébastien Le Pape à la basse, Kévin Bily à la guitare, Pierre Dayot à la batterie et Gaël Baudoin au chant. Le répertoire, constitué uniquement de reprises, reflète les influences de l’époque, avec des morceaux comme Pretty Fly de The Offspring, Bomtrack de Rage Against The Machine ou encore Asche zu Asche de Rammstein. C’est pour eux l’occasion de s’essayer à la scène et aux répètes dans le studio de Job, l’oncle du batteur et le bassiste du groupe Katémé.
Le lycée est également pour lui l’occasion de se découvrir une nouvelle passion, le cinéma. Il monte un club de cinéma avec ses deux amis Sébastien et Kévin et réalise quelques courts-métrages pour lesquels il joue un peu tous les rôles, mais surtout ceux d’ingénieur du son et de compositeur. Ses deux amis entament une carrière dans le cinéma, qu’il amorcera également pendant les années d’études à l’ESRA de son ami Sébastien, entre 2006 et 2009, mais qu’il abandonnera lorsque ses deux amis monteront à Paris. Il ne poursuivra donc pas comme eux, une carrière professionnelle
Le lycée et mon évolution musicale
C’est à la fin de l’année 2008 que son ami Sébastien, qui joue dans un groupe avec Pierre Dayot et Ellen Pelé au chant et au piano, lui prête sa basse. Il le remplace alors pendant quelques mois et se fascine déjà pour ces quatre cordes qu’il maitrise à peine.
Séduit par ce nouvel instrument mais pas assez pour lâcher l’ancien, il décide donc de monter un nouveau groupe « Reepop » avec Pierre Dayot et Quentin Hemonet à la guitare, dans lequel il chante, joue de la basse et du clavier. Ils jouent leur premier concert à l’air du temps à Monterfil, le 5 décembre 2008, avec un répertoire constitué de reprises librement interprétées. Ils interprètent notamment Englishman in New-York de Sting, Take A Walk On The Wild Side de Lou Reed ou Breakfast In America de Supertramp. Le groupe est ensuite rebaptisé « Les Matérialistes » et plusieurs compositions originales viennent agrémenter leur répertoire.
Pendant plusieurs années, il multiplie de petites interventions dans différents groupes au hasard des rencontres. Avec des amis, des collègues, des connaissances musicales, ou parfois même de parfaits inconnus rencontrés lors de répètes ou de concerts.


Les premiers pas dans un groupe !
En 2011, il rejoint le groupe « Idées » avec Isabelle Fouquer au chant, Cyrille Fouquer au violon/alto, Christian Sido à la batterie et Gurval LG aux instruments électroniques. Les membres fondateurs du groupe ayant eu une formation musicale académique, les répètes sont régulières (chaque dimanche matin, mettant un terme aux grasse matinées), organisées et studieuses. Il commence à travailler plus sérieusement et enrichit sa palette musicale, dans un style très éloigné de ses appétences naturelles. Ils interprètent un répertoire composé d’oeuvres originales dont tous les membres participent à la composition ainsi qu’aux arrangements. Ils se produisent plusieurs fois en concerts aux alentours de Sens de Bretagne.
Entre 2012 et 2013, il retrouve son ami Pierre Dayot pour plusieurs concerts avec le groupe « Pless », aux côtés de Vincent Rouault au chant et au clavier et Frédéric Rouault à la basse, Pierre Ketels à la guitare ainsi que d’Émilie Richard aux choeurs. Les répétitions s’enchaînent à un rythme effréné pour travailler un répertoire bien rempli composé uniquement de reprises. Ils se produisent de nombreuses fois en concerts durant tout l’été.
En 2014, Pierre Ketels reprend contact avec lui et l’intègre au collectif « Lady Léna Club » composé de Lena Variety au chant, Lény Roiné à la basse, Guéno Kervazo à la batterie et Saturnin Fulrad Marbin aux percussions. Ils reprennent de nombreux succès Jazz/Soul/Funk comme Love Foolosophy de Jamiroquai, Shake everything you’ve got de Maceo Parker, Summertime de Georges Benson, I Heard It Through The Grapevine de Marvin Gaye ou encore We are family des Sister Sledge. Ils ont l’occasion de monter sur scène à plusieurs reprises dans la région rennaise, notamment au festival Blues sur le caillou ou à la cave de l’Opéra.

La rencontre avec Didaf’ta
En 2016, un ami batteur le met en contact avec le chanteur et guitariste du groupe « Grand Palace Trio », Mickael Le Mentec et le batteur Jean-Marie Bataille. Ils répètent assidument au jardin moderne chaque vendredi soir, pour finalement ne jouer qu’un seul concert avant que le groupe ne se sépare pour des raisons logistiques.
C’est durant cet unique concert, le vendredi 24 juin 2016 à Bréal-sous-Montfort, qu’il fait la connaissance de David du groupe « Didaf’ta ». Ce soir là il le dépanne simplement d’un câble électrique puis en profite pour suivre la prestation débridée et haute en couleurs du groupe de rock breton. À la fin du concert, il n’oublie pas de reprendre son câble. Ils en profitent pour échanger négligemment leurs numéros. Il était loin d’imaginer qu’une semaine plus tard, il jouerait son premier concert avec lui et qu’ils n’allaient plus jamais se séparer ! L’aventure Didaf’ta avait commencée sur les chapeaux de roues et elle continue encore sur le même rythme aujourd’hui.
En parallèle, il poursuit sa collaboration avec son ami Pierre Ketels. Il fonde le groupe « Kerguelen », avec Colas Boudet au chant et à la guitare, Guéno Kervazo et Anthony Le Chaux à la batterie.
Un album solo et la suite de l’aventure
Depuis 2020, il joue toujours avec ses amis Pierre Ketels et Saturnin Fulrad Marbin, mais cette fois uniquement aux claviers, même s’il essaie parfois au saxophone alto, dans le groupe « Lobsters’O ». Avec Julien Cau à la batterie, Gwenn Le Lay à la basse, Franck Gantier au saxophone ténor et Carole Dagorne au chant, ils interprètent exclusivement des compositions de Pierre, arrangées par tous les membres du groupe. Ils jouent encore actuellement et se produisent quelquefois en public dans la région de Chevaigné.
En 2023, il sort son premier album solo « Tech Explorers » qu’il a réalisé entre 2009 et 2013 sous son pseudonyme « Bludwarf ».
